Fréquencethérapie

La découverte de l'électricité et sa compréhension ont toujours été suivi par une recherche pour une application médicale. Depuis l'antiquité jusqu'à nos jours, des hommes de grands talents se sont distingués.

Remontons le temps...

Scribonius Largus était le médecin personnel de l'empereur Romain Claude 1er (41-54 après J.-C.). Il utilisa ainsi les décharges électriques produites par un poisson torpille (Torpedo ou raie électrique) comme traitement contre les migraines (en le plaçant sur le front) et contre la goutte (en le plaçant sous les pieds).

Beaucoup plus tard, au XVI siècle, William Gilbert (1544-1603), médecin de la reine d'Angleterre Elisabeth 1er, étudie l'électricité statique produite par l'ambre jaune (elektron en grec), une résine fossile possédant des propriétés électrostatiques : il donne ainsi le nom d'électricité au phénomène.

Alessandro Volta (1745-1827) et Luigi Galvani (1737-1798), malgré leur opposition sur sa compréhension, découvrent l'électricité animale : les phénomènes électriques ne sont pas restreints à l'organe, mais les nerfs et les muscles y participent. C'est le début de l'électrophysiologie : l'étude des phénomènes électriques chez les êtres vivants.

Début du XX siècle en Europe : un grand tournant. Nikola Tesla (1856-1943) dépose plus de 900 brevets sur ses travaux sur l'énergie électrique. Avec son aide, Georges Lakhovsky (1869-1942) met au point l'oscillateur à onde multiple (MWO) permettant d'activer les processus de guérison. Son hypothèse est la suivante : "chaque cellule a sa propre fréquence de résonance. Dès qu'un organe est malade, la résonance de ses cellules chute. Les cellules malades reconnaissent leur propre fréquence et résonnent avec celle-ci afin de retrouver leur équilibre initial, permettant ainsi à la maladie de disparaître."

Parallèlement, Albert Abrams (1863–1924) part étudier la médecine à l'Université de Heidelberg, en Allemagne. Il y rencontre Hermann von Helmholtz (1821-1894) un scientifique physiologiste et acousticien. De cette rencontre, il met au point un stéthoscope électronique capable de détecter la présence d'organes malades par simple percussion sur l'abdomen du patient. Par la suite, il fabrique des appareils (Dynomizer, Oscilloclast, Radioclast, Autoclast...) sur une méthode appelé ERA (Electronic Reactions of Abrams), basée sur la théorie suivante : "le corps humain émet des rayonnements à l'échelle atomique. Ces vibrations électroniques émettent un électron vibrant à une fréquence spécifique. Si ces vibrations sont à une fréquence anormale, c'est pour indiquer la présence de la maladie. Chaque maladie a une fréquence unique. On peut alors guérir la maladie par la transmission de sa propre fréquence : cela neutralise les fréquences anormales et permet aux électrons de revenir à la normale pour éliminer la maladie."

Toujours aux Etats-Unis, mais sur la côte est, le Dr Royal Raymond Rife (1888-1971) étudie la médecine à l'Université John Hopkins de Baltimore. Afin d'approfondir sa passion sur l'optique, il part en Allemagne auprès de Carl Zeiss (1816-1888), un ingénieur-opticien. En voulant découvrir les origines des maladies et leur développement, il invente un nouveau type de microscope capable d'observer ces agents infectieux (virus, parasites...). Il s'aperçut qu'en les exposant à des rayonnements issus d'un générateur de lumière à plasma, ces derniers se modifiaient voire se désintégraient. Il mit alors au point le premier générateur de fréquences (Rife Ray Machine), définit ainsi des fréquences de résonance à chaque microbe observé, et les appela MOR (Mortal Oscilatoy Rate).

Le Dr Robert C. (Bob) Beck (1925-2002) était physicien, spécialisé dans la recherche bio-électrique, principalement la conception d'électroencéphalogrammes. En 1991, il s'intéresse aux recherches effectuées au Collège de Médecine Albert Einstein de New York, sur l'utilisation thérapeutique de micros courants et leurs influences dans le sang. Ainsi, la neutralisation du virus VIH et d'autres pathogènes fut observé. Le 14 mars 1991, l'annonce de cette recherche fut faite lors du "First International Symposium on Combination Therapies", et également dans la revue "Science News" du 30 mars 1991.
Devant l'autisme des autorités médicales et leur acharnement à le discréditer, il trouva un moyen simple d'appliquer ces micros courants au sang. Il développa un appareil électronique à deux électrodes placées au niveau du poignet. Afin d'atteindre la circulation lymphatique, il conçut aussi un générateur d'impulsions électromagnétiques fonctionnant par induction de ces même micros courants !

Le Dr Hulda Regehr Clark (1928-2009) a étudié la biologie à l'Université de Saskatchewan au Canada, récompensée par une haute distinction. Elle poursuivit ses études à l'Université de Mc Gill à Montréal au Québec, puis à l'Université du Minnesota aux Etat-Unis où elle étudia la biophysique et physiologie cellulaire, recevant le doctorat en physiologie en 1958. Après 10 ans de recherches subventionnées par le gouvernement américain, à l'Université de l'Indiana, elle quitte son poste en 1979. Elle se tourne alors vers la naturopathie, diplôme qu'elle obtient au Clayton College of Natural Health (CCNH).
En 1988, elle met au point un appareil électronique pour sonder le corps humain. Le principe est d'induire une fréquence, et d'écouter l'écho qui en résulte : elle nomme son appareil le syncromètre. Grâce à ce dernier, elle détermine une liste de fréquences de virus, parasites, bactéries, mycoses..., invente la technique du plate-zapping, permettant de détecter la présence de toxiques et d'agents pathogènes dans des organes bien déterminés afin de les drainer. Cette méthode lui permet ainsi de trouver des associations pour de grandes pathologies. Par la suite, elle met au point un appareil semblable à celui du Dr Bob Beck, le zappeur, permettant de détruire les micro-organismes pathogènes.

Le HP Alan E. Baklayan est un naturopathe allemand (HP : Heilpraktiker). Après 13 années passées à pratiquer et étudier la philosophie taoïste et leur approche médicale, il poursuit ses études en naturopathie et ouvre son cabinet en 1985. Dès les années 90, il s'intéresse alors aux parasites, et effectue des recherches entre ces derniers et les maladies chroniques. En 2003, il participe à des congrès internationaux sur les organismes intracellulaires. En 2004, il effectue une étude pilote sur les relations entre les parasites du sang et l'apparition du cancer. En 2005, il est présent au symposium Clark sur "le cancer et les parasites du sang", et en 2008, au "Rife Congress 2008 : First European Congress for Frequency Therapy - Working group for electrical frequencies and Bioresonance - Discussing the methods of Royal Rife, Hulda Clark, HP A. Baklayan (Congrès Rife 2008 : Premier Congrès Européen sur la fréquencethérapie - Groupe de travail sur les fréquences électriques et la biorésonance - Discussion des méthodes de Royal Rife, Hulda Clark, HP A. Baklayan)", à Munich en Allemagne.


© Copyright Biorésonat 2011 - Tous droits réservésSelon la législation française, les thérapies décrites sur ce site ne peuvent se substituer à un traitement médical en cours.